Afin de mieux comprendre les changements du marché de l’emploi en 2024, CV Genius s’est penché sur les causes derrière ces difficultés grandissantes rencontrées par les employeurs ainsi que les chercheurs d’emploi.
En nous basant sur 21 sources fiables, nous répondrons donc aux questions suivantes :
- Quels secteurs et métiers connaissent le plus de difficultés de recrutement en 2024 ?
- Quelle est la situation de l’emploi des seniors aujourd’hui ?
- Quelles sont les difficultés rencontrées par les entreprises ?
- Quelles sont les concessions faites pour aboutir à un recrutement ?
- Quelles sont les difficultés rencontrées par les chercheurs d’emploi en 2024 et que revendiquent-ils ?
- À quoi ressemble le processus de recrutement et de sélection aujourd’hui ?
- Quelles différences notables définissent le processus de recrutement en 2024 de manière générale ?
Vous cherchez à comprendre dans quels contextes s’inscrivent ces faits ? Nos statistiques sur l’évolution des attentes des actifs français en 2024 dans leur vie professionnelle vous donneront une meilleure vue d’ensemble :
Les secteurs qui cherchent à recruter le plus en 2024 sont :
De manière générale, ce sont les services qui recrutent le plus avec une part importante de 63 % des projets de recrutement, avec le plus de recrutement pour les activités financières et d’assurance et le plus de difficultés dans la construction.
Source : France Travail
Les niveaux de tensions de recrutement en 2024 connaissent une baisse depuis la fin 2023 :
67,1 % des offres d’emploi diffusées par France Travail au deuxième trimestre 2023 portent sur des contrats durables, dont les domaines avec la plus forte demande sont :
- le support à l’entreprise (20,7 %, surtout en comptabilité et gestion 7,4 % et en systèmes d’information et de télécommunication 4,7 %)
- l’industrie (13,1 %)
- les services à la personne et à la collectivité (11,8 %)
- le commerce, vente et grande distribution (11,6 %)
Source : France Travail
Voici quelques chiffres clés sur la part des 18-30 ans sur le marché du travail :
- 47,8 % des nouveaux embauchés en 2022 avaient moins de 30 ans
- Parmi ces 47,8 %, 38,2 % avaient entre 16 et 25 ans
Les jeunes âgés de 18 à 30 ans se tournent davantage vers le statut précaire d’auto-entrepreneur et des « activités peu rémunérées » et représentent :
- près de 60 % des auto-entrepreneurs
- 50 % des indépendants
- 45 % des emplois en restauration
- 37 % dans le commerce de détail
Source : Le Figaro
- 53 % des jeunes considèrent la flexibilité horaire importante et accordent plus d’importance à leur épanouissement, quitte à gagner moins
- La semaine de 4 jours (53 %) et l’obtention d’un CDI à mi-temps (44 %) figurent parmi le top des modes de travail souhaités
9 jeunes sur 10 envisagent de faire une pause dans leur carrière professionnelle à un moment de leur vie, pour voyager (36 %) ou se dédier à leur vie de famille (30 %).
Source : Focus RH
Quelle est la situation de l’emploi des seniors aujourd’hui ?
Avec le recul de l’âge du départ à la retraite suite à l’adoption de la réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 dans un climat économique tendu, la question de l’emploi senior s’impose.
Alors que le taux d’emploi dans le secteur privé des 55 à 64 ans en France en 2022 s’élève seulement à 56,9 %, un taux inférieur à la moyenne européenne de 62,4 %, les seniors sont moins souvent au chômage que les autres tranches d’âge (56,9 % des 55 à 64 ans contre 82,5 % des 25 à 49 ans).
Cependant, ceux qui le sont y restent plus longtemps que les autres demandeurs d’emploi et leurs chances de retrouver un emploi après une période de chômage sont moins élevées.
En effet, 60 % des chercheurs d’emploi de plus de 55 ans connaissent une période de chômage supérieure à un an contre 42 % des demandeurs d’emploi non seniors.
Ces tendances s’expliquent par les raisons suivantes :
- la perte d’employabilité avec l’âge (réelle et perçue, dont la baisse de productivité et la discrimination liée à l’âge)
- un accès à la formation plus faible en fin de carrière
- la limite des possibilités d’adaptation aux nouveaux emplois techniquement plus complexes
- rémunération à l’ancienneté parfois sans corrélation à la productivité
Sources : Dares, Eurostat, Hello Work Place et Trésor Économie
Le travail indépendant contribue fortement au maintien dans l’emploi des seniors plus ils avancent en âge, car ils ne sont ainsi pas exposés aux représentations négatives des employeurs.
- La proportion de seniors en emploi s’accroît avec le niveau de diplôme autant pour les hommes que pour les femmes
- Le CDI reste une forme privilégiée par 92 % des salariés seniors
- Le travail à temps partiel se répand de plus en plus avec 12.8 % des 50-64 ans et 12.5 % des 55-64 ans au premier trimestre 2023
Source : Hello Work Place
Toutefois, il existe aujourd’hui des contrats de travail dédiés aux seniors, dont :
- les contrats de professionnalisation (pour les salariés de 45 ans et plus qui donnent droit à une aide de l’État sous certaines conditions)
- le CDD senior (pour les salariés de plus de 57 ans)
- le CDI inclusion (pour les seniors à difficultés sociales et professionnelles particulières)
De plus, certaines entreprises telles L’Oréal ou Nestlé France offrent déjà des pratiques inclusives à leurs salariés seniors en menant :
- des enquêtes d’inclusion pour mieux cerner les problèmes perçus par les salariés seniors
- l’adoption d’une charte d’inclusion
- l’accès égalitaire des opportunités de formation
- la formation des recruteurs et des managers vis-à-vis des biais inconscients, dont l’âgisme
- l’encouragement du mentorat
- la facilité d’accès à la reconversion professionnelle
- la mise en place de mesures préventives contre l’usure professionnelle impactant la santé
Sources : Hello Work Place et Juritravail
Les cinq secteurs d’activité ayant tendance à recruter le plus de seniors, sont les suivants :
L’employabilité des seniors est particulièrement influencée par leur incapacité perçue à s’adapter aux changements technologiques :
75 % des managers français* pensaient qu’un candidat de plus 55 ans serait désavantagé par rapport à un plus jeune à qualifications et compétences égales
* statistique de 2015 car sujet peu étudié
Source : Trésor Économie
Une enquête réalisée par l’Ifop en fin 2023 auprès de 2002 personnes, représentatives de la population active française, mesure les perceptions derrière l’exposition des seniors au risque du licenciement.
En ordre d’importance, les sondés ont cité les raisons suivantes :
- Ils coûtent plus chers
- Ils sont moins dynamiques que les salariés plus jeunes
- Ils sont plus réticents au changement
- Ils maîtrisent mal les nouvelles technologies
Source : Club Landoy
Raisons réelles ou perçues, l’utilisation de plus en plus accélérée de l’intelligence artificielle nous presse à nous interroger sur la nature des emplois d’aujourd’hui et de demain.
Ceci concerne autant les générations en fin de carrière que les générations X ainsi que les Milléniaux, seniors de demain.
Presque un tiers des seniors inactifs de moins de 62 ans le sont en citant deux raisons principales derrière leur non recherche d’emploi :
- la retraite anticipée pour carrière longue
- les problèmes de santé (soit 50 % de plus que pour l’ensemble des inactifs de 25-54 ans)
Les problèmes de santé affectent 29 % des seniors ni en emploi ni à la retraite âgés de 52 à 69 ans contre 7 % des seniors en emploi et 10 % des seniors à la retraite du même âge
Sources : DREES et Trésor Économie
Entre 55 et 69 ans, la situation sur le marché du travail reste très évolutive :
- Trois seniors sur cinq ni en emploi ni à la retraite sont des femmes
- Près de la moitié des seniors âgés de 55 à 61 ans n’est ni en emploi ni à la retraite pour des raisons de santé ou de handicap
Source : Insee
Comment se passe la recherche d’emploi en 2024 ?
Du côté des chercheurs d’emploi :
- Plus d’⅓ (33 %) envoient leur CV en masse afin de maximiser leurs chances de décrocher un emploi, sans se soucier des compétences requises
- La moitié sont moins sélectifs dans leurs recherches malgré un désir grandissant d’avoir de meilleures conditions de travail
- 91 % se sont déjà senti intimidés par les compétences exigées dans les offres d’emploi
- Les ¾ estiment qu’ils doivent posséder au moins 70 % des compétences requises pour postuler, une vision partagée par 76 % des recruteurs
- 74 % n’osent pas postuler aux offres d’emploi quand ils n’ont pas toutes les compétences requises
- 89 % pensent que les profils atypiques ne sont pas assez pris en compte, un sentiment partagé par 82 % des recruteurs
- Plus de 28 % avouent avoir menti sur leur CV pour obtenir un entretien et 91 % sont prêts à le refaire
Statistique étonnante : près de la moitié des recruteurs (54 %) sont prêts à fermer les yeux sur ce fait et embaucher un candidat qui ment de façon évidente sur leur CV du moment qu’il sait se montrer persuasif.
Source : Culture RH
En quoi le processus de sélection des candidats a évolué du côté des employeurs ?
- Les employeurs accordent aujourd’hui une importante croissante aux compétences comportementales
- Seulement 11 % des recrutements se basent sur le diplôme
- L’expérience professionnelle est souvent plus prisée que le diplôme dans le choix final du candidat
L’expérience professionnelle est davantage mise en avant pour les cadres et les ouvriers qualifiés, tandis que les compétences comportementales prennent le pas pour les employés de service.
Les compétences comportementales jugées indispensables par la quasi-totalité des employeurs :
- capacité à travailler en équipe
- autonomie
- respect des règles et des consignes
- relation client
Source : France Travail
Cependant, l’importance accordée aux compétences techniques ou comportementales des candidats et le poids du diplôme dans les décisions finales de recrutement varient d’un secteur et d’un métier à l’autre.
Voici comment sont réparties les critères de sélection les plus importants parmi les grands secteurs suivants :
- les secteurs de l’hébergement et restauration, du commerce et de l’agro-alimentaire privilégient les compétences comportementales sans donner une grande importance au diplôme
- les secteurs de la construction, la réparation automobile et l’industrie s’attachent davantage aux compétences techniques sans pour autant les objectiver principalement par un diplôme
- les secteurs financiers, des assurances, de l’informatique, scientifique et technique mettent en avant les diplômes sans qu’ils soient d’un type bien déterminé
- les secteurs de la santé, l’action sociale, l’enseignement et l’administration publique demandent des diplômes précis chez les candidats
85 % des employeurs évoquent un nombre insuffisant de candidatures.
36 % des entreprises estiment que les conditions de travail proposées ne sont pas favorables à l’embauche.
Source : France Travail
Ceci mène de plus en plus d’entreprises à faire des concessions en assouplissant leurs critères de sélection afin d’assurer un recrutement difficile, et cette tendance s’accentue depuis 2020.
Quel est le taux des entreprises de plus de 10 salariés ayant révisé au moins une fois leur proposition initiale pour assurer le recrutement de cadres (entre 2020 et 2022) ?
- Recrutement d’un cadre avec moins de compétences techniques que souhaitées : +4 % (47 % à 51 %)
- Recrutement d’un cadre avec moins d’expérience que souhaitée : +4 % (46 % à 50 %)
- Recrutement d’un cadre possédant un diplôme ou un niveau de diplôme différent que souhaité : +1 % (30 % à 31 %)
- Proposition de conditions de travail plus attractives (option de télétravail, horaires plus flexibles, …) (41 % en 2022)
- Proposition d’une rémunération plus élevée : +7 % (de 55 % à 62 %)
Source : Apec
- Selon 83 % des recruteurs et 90 % des chercheurs d’emploi, la recherche poussée du « profil idéal » complique les recrutements
- 77 % des recruteurs admettent que les candidatures n’ayant pas le profil exact ont du mal à être considérées
- 75 % des recruteurs pensent aussi qu’ils font souvent des concessions dans leur processus de sélection et de recrutement
En effet, 68 % des chercheurs d’emploi ayant postulé à des offres ne correspondant pas tout à fait à leur profil ont finalement obtenu un entretien d’embauche, dont 55 % ont même reçu une offre d’emploi par la suite.
Source : Culture RH
En effet, l’attractivité des talents demeure une préoccupation centrale en 2024 mais pas au même degré entre employeurs et employés.
Toutefois, nous notons une nette différence dans le degré de préoccupation entre employeurs et salariés quant à la capacité de subvenir à des besoins aujourd’hui jugés essentiels à l’attractivité d’un poste.
Par exemple, 76 % des salariés pensent que leur entreprise ont du mal à recruter car ils n’ont pas de politique de flexibilité assez interessante alors que 24 % des employeurs pensent qu’il est difficile d’attirer des talents pour cette même raison.:
À quoi les recruteurs prêtent attention en lisant un CV ?
Les recruteurs dévoilent les facteurs du CV qui affectent leur décision de retenir une candidature ou non :
- Plus de la moitié prêtent attention à la forme du CV
- 51 % n’aiment pas les trous « temporels » dans les CV
- 83 % disent donner la priorité aux candidats ayant réalisé leur cursus par l’apprentissage
- Il faut environ 80 secondes au recruteur pour prendre une décision positive, mais la plupart des CV sont éliminés en moins de 30 secondes
- 35 % écartent une candidature à partir de deux fautes de français (58 % des CV contiennent en moyenne au moins 15 fautes)
Source : LinkedIn
À quoi ressemble le processus de recrutement pour les profils avec peu ou pas d’expérience ?
Les jeunes stagiaires et les alternants représentent ces profils sans expérience :
- Seulement 46 % des candidatures reçues sont lues par les entreprises en 2022
- 80 % des candidatures à des stages ou alternance ne reçoivent pas de réponse
- Un stagiaire doit envoyer 40 CV en moyenne pour décrocher un emploi ou un stage
- Une candidature est lue dans ses 44 premières heures
- Une candidature a 22 % de chance de plus d’être traitée si elle arrive en début de semaine (le mardi serait le jour à plus fort potentiel)
- La majorité des recruteurs passent 46 % de leur temps sur la rubrique « Expérience professionnelle », 26 % sur le chapitre « Compétences » et 18 % sur le chapitre « Formation »
Enfin, les recruteurs maintiennent leur préférence de la sélection du recrutement par réseautage.
Source : LinkedIn
Quelles différences notables définissent le processus de recrutement en 2024 ?
La présence en ligne devient un facteur de plus en plus décisif chez les recruteurs avec 7 entreprises sur 10 privilégiant les réseaux sociaux pour recruter.
La préférence d’un CV simple et adapté aux mobiles en conséquence d’une hausse de la lecture des candidatures sur tablette et smartphone. Cette lecture sur des écrans plus petits a doublé pour atteindre 28 % en 2024.
77 % des recruteurs estiment que l’adoption de l’intelligence artificielle dans leur processus de recrutement leur permet de recruter de meilleurs talents.
64 % des entreprises considèrent l’amélioration de leur marque employeur comme un objectif clé.
En quoi le processus de sélection de son entreprise a évolué du côté des candidats ?
Du côté des chercheurs d’emploi, par rapport à la génération précédente, les jeunes salariés d’aujourd’hui et ceux fraîchement diplômés espèrent retrouver les cinq conditions suivantes dans un emploi :
Source : nouvelleviepro.fr
Méthodologie :
Les conclusions présentées dans ce document ont été obtenues en compilant plusieurs sources crédibles et pertinentes.
Ces sources incluent des études de recherche, des rapports, des articles académiques et des données provenant d’organismes reconnus. Les informations recueillies comprennent des données qualitatives et quantitatives provenant de différentes périodes et contextes.
Limitations :
Il est important de noter que cette étude repose sur la synthèse d’informations provenant de sources existantes. Par conséquent, les limitations inhérentes à ces sources, telles que la qualité des données, la méthodologie de collecte et d’analyse, ainsi que les biais potentiels, peuvent également s’appliquer à cette synthèse.
Nous avons pris des mesures pour garantir la fiabilité des sources utilisées, mais il convient de garder à l’esprit que les conclusions sont basées sur les données disponibles au moment de la recherche.
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Sources :
- Apec. (2023). « Des entreprises plus offensives face aux difficultés de recrutement »
- Apec. (2023). « Des intentions d’embauche et de mobilité qui laissent présager un trimestre toujours très dynamique »
- Akriche, S., Bronstein, A., et Bourdier C. (2022). « L’emploi des seniors en France », N°302
- Berguig, F. (2023). « 87% des candidatures ne recevront jamais de réponse »
- Castelain, E. (2023). « En 2021, une personne de 55 à 69 ans sur six ni en emploi ni à la retraite, une situation le plus souvent subie », N°1946
- Club Landoy. (2024) « Baromètre du Club Landoy Édition 2024 »
- Consul M. (2023). « Intentions d’embauche en 2023 : les difficultés de recrutement persistent »
- D’Isanto, A., Hananel, J., et Musiedlak Y. (2018). « Un tiers des seniors sans emploi ni retraite vivent en dessous du seuil de pauvreté », N°1079
- Eurostat. (2023). « Taux d’emploi des personnes âgées, tranche d’âge 55-64 ans »
- France Travail. (2022). « La satisfaction des demandeurs d’emploi en période de forte reprise économique, Baromètre national », Éclairages et synthèses
- France Travail. (2023). « Enquête « Besoin en main-d’oeuvre » : de fortes difficultés de recrutement en 2023 », Éclairages et synthèses, N°76
- France Travail. (2023). « Les offres d’emploi diffusées par Pôle emploi au 2e trimestre 2023 », N°23.027
- Hardy, M. (2023). « Les 5 secteurs qui recrutent le plus des seniors »
- Hellio, M. (2022). « Marché du travail 2023 : quelle place pour les seniors ? »
- Juritravail. (2024). « Emplois des seniors : quels plans d’actions en 2023-2024 ? »
- Kasmi, S. (2022). « Les moins de 30 ans adeptes du travail « à la carte » ? »
- Lajoinie, A. (2023). « Pourquoi les recruteurs peinent tant à trouver le « bon profil » en 2023 ? »
- Le Figaro. (2023). « L’emploi des moins de trente ans ans en 2022, précaire mais en croissance »
- Makhzoum, S. (2023). « Les seniors sur le marché du travail en 2021 : Un taux d’emploi toujours en progression », Dares résultats N°2
- Nouvelle Vie Professionnelle. (2023). « Les 15 métiers qui recruteront le plus d’ici 2030 »
- Robert Half France. (2023). « Les prévisions d’embauche en hausse, malgré un climat de confiance plus mitigé pour 2024 »